Cornelia Eichhorn
Altitude Attitude
Exposition de Dessins et vidéos
Vernissage en présence de l'artiste le jeudi 16 novembre à partir de 18h00. Galerie L'Abat-Jour, 33 rue Leynaud, 69001 Lyon Altitude Attitude Le travail de Cornelia Eichhorn tend à rendre visible les tensions, les frustrations, les violences larvées qui évoluent discrètement et très lentement en nous-mêmes, et au travers de l'autre. La nécessité de l'autre nous permet l’épanouissement et la reconnaissance, mais nous oblige à être dépendant et parfois opprimé. Ces interactions sont par nature problématiques et complexes, difficilement discernables tant dans leurs origines que dans leurs conséquences. Cornelia Eichhorn nous montre la beauté antinomique de ces frustrations vénéneuses et cette défiguration des bonnes intentions jusqu’à leur pourrissement engendrant le chaos du monde. La vanité de l'homme à se penser au delà des lois naturelles créent cette entropie et cette décadence, qui lui sont inhérentes, au delà de toute morale. Voici ce que nous montrent ces dessins foisonnants, qui existent et nous regardent. |
Mix 'N' Wash
Charles Pennequin en performance
Vidéos
Installation
Dj's
Pour ce nouvel évènement, Artophilia occupera le célèbre Le Lavoir Public le temps d'un week-end entre performances, vidéo et festivités !
Samedi 21 à 18h00 Ouverture des portes 19h30 : Performance de Charles Pennequin 20h30/00h00 : Set Dj avec Marx et DJ Redfag Dimanche 22 : à 11h00 Lecture/rencontre avec Charles Pennequin au Le Livre en Pente(rue des pierres plantées Lyon 1er) Ouverture des portes du Le Lavoir Public à 14h00 14h30 / 16h30 : Projections vidéo avec Cornelia Eichhorn, Fabrik etRomuald&PJ avec des vidéos de Monsieur Bidule 17h00 : Tea dance avec Dj Redfag (electro/electroclash/IDM) Nous présenterons l'installation - Je me radicalise - de Laurent Santiainsi qu'un diaporama inédit de photos d' Eric Lanuit (pendant les DJ sets) PAF soirée du samedi 5€ + 2€ adhésion au lavoir Dimanche : Participation libre. Retrouvez l'évènement sur Facebook |
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Random - Exposition aléatoire de Romuald&PJVernissage le jeudi 12 octobre à La Coopérative du Zèbre - 22 rue Jean Baptiste Say, Lyon 1er.
Huit ans de vie commune, huit ans de création. Romuald&PJ convolent en noce et profitent de l'occasion pour vous présenter de manière aléatoire les oeuvres qu'ils ont réalisées ensemble depuis leur collision... Les artistes sont également les fondateurs de Artophilia. Nous aurons le plaisir d'être accompagnés en musique Live par Eric Le Rouge ! |
Pour ce troisième évènement de la saison, Artophilia vous invite chez Marie-Amélie pour une exposition privée !
Dans cet appartement proche de la place Bellecour avec vue sur les quais de Saône, vous découvrirez une exposition présentant 11 artistes.
Pour participer à cette exposition il faudra que vous nous écriviez à artophilia.lyon@gmail.com afin que nous vous donnions les codes d'accès à l'immeuble.
Nous avons également le plaisir d'inviter l'association Alfenzine dont le travail remarquable dans une zone reculée de l’atlas Marocain permet une restructuration des tissus sociaux et économiques. Alfenzine est à ce jour créateur de dizaines d’emplois de femmes dans la fabrication de tapis selon les techniques ancestrales mais conceptualisés par les étudiants de design graphique du Lycée La Martinière Diderot à Lyon. Les tapis et autres productions des ateliers ont étés exposés (et vendus) dans de nombreuses expositions à Lyon, au Maroc ainsi qu’à la Biennale du Design de Saint Etienne (entre autres).
Alfenzine a également entrepris la construction d’un Ksar à Anguelz qui deviendra à court terme un lieu d’échange culturel en particulier grâce à la création d’une résidence d’artiste.
Plus d’infos sur le projet Alfenzine : www.alfenzine.com
L'exposition a eu lieu du jeudi 28 septembre au Samedi 30 septembre de 10h00 à 22h00.
Certaines oeuvres peuvent heurter la sensibilités des âmes les plus fragiles, mais c'est toujours moins sale que ce que vous pouvez voir au quotidien au journal de 20h00.
Dans cet appartement proche de la place Bellecour avec vue sur les quais de Saône, vous découvrirez une exposition présentant 11 artistes.
Pour participer à cette exposition il faudra que vous nous écriviez à artophilia.lyon@gmail.com afin que nous vous donnions les codes d'accès à l'immeuble.
Nous avons également le plaisir d'inviter l'association Alfenzine dont le travail remarquable dans une zone reculée de l’atlas Marocain permet une restructuration des tissus sociaux et économiques. Alfenzine est à ce jour créateur de dizaines d’emplois de femmes dans la fabrication de tapis selon les techniques ancestrales mais conceptualisés par les étudiants de design graphique du Lycée La Martinière Diderot à Lyon. Les tapis et autres productions des ateliers ont étés exposés (et vendus) dans de nombreuses expositions à Lyon, au Maroc ainsi qu’à la Biennale du Design de Saint Etienne (entre autres).
Alfenzine a également entrepris la construction d’un Ksar à Anguelz qui deviendra à court terme un lieu d’échange culturel en particulier grâce à la création d’une résidence d’artiste.
Plus d’infos sur le projet Alfenzine : www.alfenzine.com
L'exposition a eu lieu du jeudi 28 septembre au Samedi 30 septembre de 10h00 à 22h00.
Certaines oeuvres peuvent heurter la sensibilités des âmes les plus fragiles, mais c'est toujours moins sale que ce que vous pouvez voir au quotidien au journal de 20h00.
Photophilia
Un shop (presque) entièrement dédié à la photographie
Vernissage le samedi 10 septembre à 18h30
Exposition jusqu'au samedi 15 octobre 2016
Artophilia
Summer exhibition
Jusqu'au 30 juillet 2016
- Sérigraphies de La Belle Epoque [Arts Contemporains] (à gauche).
- Moï (Jean-christophe Martinez) (portraits) - Djan Silveberg (Au sol) |
- Portraits sérigraphiés de Moï (Jean-christophe Martinez)
- Sérigrapghies de Bert The Mad Silkscreamer -Céramiques de Jérôme Galvin et François Bénard |
Techniques mixtes de Clara Cuzin
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Anniversaire de Monsieur Bidule
à
La Coopérative du zèbre
Le 23 juillet 2014, Romuald&PJ donnaient vie à Monsieur Bidule dans leur atelier de Caluire. Quelques jours plus tard, lors d'un voyage dans le sud de la France, il faisait Sa première photo devant Le Viaduc de Millau.
Un an plus tard, il vous invite à fêter ce premier anniversaire avec lui. L'évènement se déroulera en deux temps. Le jeudi 2 juillet nous inaugurerons une nouvelle #ExpoBidule avec des oeuvres inédites. Voici son projet d'exposition participative : le 23 juillet, jour de son anniversaire, il vous invite à inventer une petite oeuvre, que vous viendrez m'offrir (dessin, photo, montage, collage, sculpture...) dont je serais l'inspiration. Les différents travaux seront exposés à La coopérative du Zèbre du 23 au 30 juillet. il compte sur vous car il aime beaucoup les cadeaux. Vous aurez, bien entendu, la possibilité de me donner votre cadeau, mais si vous le désirez, vous garderez la propriété et les droits inhérents à votre oeuvre. Inscrivez-vous à l'évènement Facebook ici |
L'engagement
Peintures et dessins de John Salter
à partir du jeudi 9 avril
La Coopérative du Zèbre
22 rue Jean Baptiste Say
Lyon
Nouveau rendez-vous artistique à La coopérative du Zèbre ! C'est John Salter que nous recevons et c'est de l'art engagé !
Rendez-vous le jeudi 9 avril à partir de 18h00 pour l'inauguration ! Voici ce qu'il dit de lui : Je suis un peintre engagé convaincu que l’artiste doit être avant tout un grand artisan maître de ses techniques. Si non ses œuvres sont enfantines. Son travail doit refléter ses responsabilités sociétales et politiques et s’adresser à tout le monde et non pas à une seule petite coterie qui souhaite imposer sa « supériorité » dans un obscurantisme néo-Dada qui suit les cotes plutôt que les grandes traditions de l’Art. Comme a dit Egon Schiele, « Il est impossible que l’Art soit Moderne (ou Contemporain !), car il est primordialement éternel ». De même, il est impossible qu’il soit pur car il doit être en communion avec le sort humain avec les joies et les souffrances de celui-ci. La tour d’ivoire est l’anti-art, tout comme le bon goût. J’essaie de parler aux yeux au moyen d’un symbolisme accessible à tous loin de l’ésotérisme obscur des tendances mais grâce à une poésie populaire comme celle qui est pratiquée par des artistes tels que Michael Jackson, John Lennon, Serge Gainsbourg ou quelques rappeurs. Car tout Art digne de ce nom est perçu spontanèment par le peuple. John Salter |
Marché de l'art
ou
art du marché ?
Exposition collective
Est-ce aux artistes de faire le marché de l'art ou bien au marché de l'art de faire les artistes ? Quel modèle économique pour l'art contemporain ? Quelle place occupent les artistes qui n'ont pas la chance d'être soutenus par les grandes galeries ni par l'institution publique ?
Certains artistes sont déjà confirmés et figurent déjà dans des collections privés et/ou publiques, d'autres sont primo-exposants, mais tous ont un regard drôle, grinçant, audacieux, souvent poétique et toujours politique de leur activité d'artiste.
De l'eau est passée dans les urinoirs des musées d'arts contemporains depuis Duchamp, et Wim Delvoye en mettant au point son Cloaca a oublié d'y ajouter une chasse d'eau capable de nettoyer l'art contemporain des excréments financiers qui l'empêchent de respirer.
Non, ce n'est pas de la "Merde d'artiste" que nous allons vous montrer, mais bel et bien une vision toute contemporaine de la non soumission de la force créatrice qui nous entoure.
Pierre-Jean Blanchon (Commissaire de l'exposition).
Avec :
Full Mano
Raphaele De Gastines
Damien Coupeté
Laurent Santi
Alexandre Delecroix ( Alexandre Seppukoo)
Romuald&PJ
Véronique Levesque
Julien Richetti
Djan Silveberg
Lilou Delasalle
Nadia Nys
Rocio Lopez Zarandieta
La plume d'Adafé
A Partir du 19 février 2015 à La Coopérative du Zèbre, 22 rue Jean-Baptiste Say, 69001 Lyon.
Ouverture au public les jeudis et vendredis soir à partir de 18h00
Galerie des portraits improbables, ou la tentative erronée
mais émouvante d’un dictionnaire d’une physiognomonie délirante.
-
Une exposition de
Julien Richetti
Par Julien Richetti, photographiste
Par la fusion de plusieurs photographies, l'artiste fait naître des effets de matières et de couleurs surprenants sur lesquels se détachent des portraits. Au cœur de l’encre, de l'animal, du minéral ou de la lumière, la figure humaine, universelle, transparaît. Ces créations parfois dérangeantes, parfois douces et harmonieuses suscitent des réactions immédiates et cherchent à révéler des émotions par des superpositions inédites.
Julien Richetti se consacre depuis 2012 à son activité artistique après avoir été, entre autres, architecte, dessinateur, informaticien et web designer. Sa fascination pour l'image et l'informatique sont à l'origine de son travail photographique, ancré dans l'ère numérique.
Par la fusion de plusieurs photographies, l'artiste fait naître des effets de matières et de couleurs surprenants sur lesquels se détachent des portraits. Au cœur de l’encre, de l'animal, du minéral ou de la lumière, la figure humaine, universelle, transparaît. Ces créations parfois dérangeantes, parfois douces et harmonieuses suscitent des réactions immédiates et cherchent à révéler des émotions par des superpositions inédites.
Julien Richetti se consacre depuis 2012 à son activité artistique après avoir été, entre autres, architecte, dessinateur, informaticien et web designer. Sa fascination pour l'image et l'informatique sont à l'origine de son travail photographique, ancré dans l'ère numérique.
ARTHOPHILIA, L'exposition de l'été à La Galerie des Pentes !
Du 3 Juillet au 9 aout
Arthophilia, c'est tout l'esprit de La Galerie des Pentes dans un grand Shop d'art contemporain !
30 artistes d'ici et d'ailleurs pour montrer, une fois de plus, que l'art contemporain ne se résume pas à quelques ventes millionnaires.
30 artistes d'ici et d'ailleurs qui vous transporteront dans l'émotion, la joie, le rire et parfois la fureur !
30 artiste d'ici et d'ailleurs qui font l'art contemporain... autrement !
30 artistes d'ici et d'ailleurs pour montrer, une fois de plus, que l'art contemporain ne se résume pas à quelques ventes millionnaires.
30 artistes d'ici et d'ailleurs qui vous transporteront dans l'émotion, la joie, le rire et parfois la fureur !
30 artiste d'ici et d'ailleurs qui font l'art contemporain... autrement !
En revenant d'ukraine
Relation entre photo-journalisme et cinéma politique
Une exposition d'Arnaud Trambouze
Espace ART POUR TOUS de La Galerie des Pentes
Relation entre photo-journalisme et cinéma politique
Une exposition d'Arnaud Trambouze
Espace ART POUR TOUS de La Galerie des Pentes

Arnaud Trambouze est réalisateur-documentariste et photographe. Il propose aujourd'hui une exposition à la Galerie des pentes à Lyon intitulée " En revenant d'Ukraine ". Cette exposition, qui sera visible du 19 mai au 28 juin, présente des travaux de photo-journalisme et des extraits de son nouveau film " Elle n'insulte pas dans sa langue natale ". Parti de France après l'obtention de son diplôme des Beaux-Arts, il n'a jamais cessé de chercher ailleurs, chez les autres, des réponses à sa culture. C'est ainsi qu'on le retrouve au Pakistan travaillant entre 2007 et 2009 pour le compte du gouvernement, à Moscou à plusieurs reprises. Aujourd'hui il revient de l'Ukraine où les derniers événements ont eu raison de ses attentes. Il s'y sent bien, il y reste. Il entame alors avec d'autres photographes de presse, ce qu'il appelle " la compétition " : arracher le meilleur cliché. En parallèle de l'actualité, il réalise un film très personnel sur les raisons du conflit. L'exposition réunit deux points de vue opposés et apporte une réponse sur l'histoire de l'image médiatique et du cinéma politique.
Elle n'insulte pas dans sa langue natale
" Elle n'insulte pas dans sa langue natale " est un film qui explique le conflit actuel en Ukraine. Le film suit Elena, femme du réalisateur, de nationalité russe, issue de la première génération post guerre froide. Partant d'une simple description des faits, elle élabore sa propre réflexion critique qu'elle livre face caméra en français . Dans cette situation dramatique, le film démontre que ses passions intellectuelles, artistiques et scientifiques sont autrement plus fortes que les forces irrationnelles du nationalisme et de la guerre qui va avec. Qu'il reste des espaces vierges de réflexion, proches du danger imminent, que tout intellectuel se doit de conquérir. Ainsi, plus qu'un voyage - c'est une réponse qui nous est donnée.
Arnaud Trambouze
" Elle n'insulte pas dans sa langue natale " est un film qui explique le conflit actuel en Ukraine. Le film suit Elena, femme du réalisateur, de nationalité russe, issue de la première génération post guerre froide. Partant d'une simple description des faits, elle élabore sa propre réflexion critique qu'elle livre face caméra en français . Dans cette situation dramatique, le film démontre que ses passions intellectuelles, artistiques et scientifiques sont autrement plus fortes que les forces irrationnelles du nationalisme et de la guerre qui va avec. Qu'il reste des espaces vierges de réflexion, proches du danger imminent, que tout intellectuel se doit de conquérir. Ainsi, plus qu'un voyage - c'est une réponse qui nous est donnée.
Arnaud Trambouze
Qui ne dit mot
Exposition de Djan Silveberg
Du 22 mai au 28 juin 2014
Vernissage le jeudi 22 mai
Nous sommes heureux de vous inviter au vernissage de l'exposition "Qui ne dit mot" de Djan silveberg le jeudi 22 mai à partir de 18h30.
Ce sera aussi l'occasion de nous réjouir ensemble car nous fêterons le premier anniversaire de La Galerie des Pentes !
Les « Projections Mentales »
Dans sa nouvelle exposition à la Galerie des Pentes, Djan Silveberg nous présente notamment ce qu'il appelle les « Projections Mentales », un travail sur le signe qui cristallise plusieurs aspects de ses recherches plastiques. Celles-ci s'inscrivent autour d'une réflexion sur les mécanismes visuels et les automatismes de la pensée issus de l'environnement dans lequel nous vivons et de l'accélération constatée de nombreux éléments endogènes de la société contemporaine.
Le principe en est que toute réflexion trouve sa matérialisation à travers une projection mentale inconsciente résultante d'un état d'être et d'un mode de pensée hérités d'un apprentissage plus ou moins formaté : éducation, culture, langage, relations sociales, etc.
Dans les phrases-clés qu'il utilise (proverbes, dictons, morales de fables, etc.), mais auxquelles il retire le dernier mot, la forme et le sens prennent leur substance du schéma de lecture que l'on peut faire des signes qui les composent et de l'inachèvement que l'on constate : résurgence induite par notre cerveau et nos sens, réflexe visuel qui vient naturellement compléter un manque que l'on identifie comme tel, mais également prise de conscience que l'assertion en soi peut revêtir une autre signification que celle vers laquelle notre inconscient souhaite nous pousser. La phrase est-elle finie ? Est-ce le début d'un effacement de ce qui fait notre cadre mental, notre référent ? L'inéluctable disparition d'une forme de culture par l'avènement de l'ère du numérique et du brouillage résultant d'une probable overdose d'information ?
Téléchargez le Communiqué de presse
Ce sera aussi l'occasion de nous réjouir ensemble car nous fêterons le premier anniversaire de La Galerie des Pentes !
Les « Projections Mentales »
Dans sa nouvelle exposition à la Galerie des Pentes, Djan Silveberg nous présente notamment ce qu'il appelle les « Projections Mentales », un travail sur le signe qui cristallise plusieurs aspects de ses recherches plastiques. Celles-ci s'inscrivent autour d'une réflexion sur les mécanismes visuels et les automatismes de la pensée issus de l'environnement dans lequel nous vivons et de l'accélération constatée de nombreux éléments endogènes de la société contemporaine.
Le principe en est que toute réflexion trouve sa matérialisation à travers une projection mentale inconsciente résultante d'un état d'être et d'un mode de pensée hérités d'un apprentissage plus ou moins formaté : éducation, culture, langage, relations sociales, etc.
Dans les phrases-clés qu'il utilise (proverbes, dictons, morales de fables, etc.), mais auxquelles il retire le dernier mot, la forme et le sens prennent leur substance du schéma de lecture que l'on peut faire des signes qui les composent et de l'inachèvement que l'on constate : résurgence induite par notre cerveau et nos sens, réflexe visuel qui vient naturellement compléter un manque que l'on identifie comme tel, mais également prise de conscience que l'assertion en soi peut revêtir une autre signification que celle vers laquelle notre inconscient souhaite nous pousser. La phrase est-elle finie ? Est-ce le début d'un effacement de ce qui fait notre cadre mental, notre référent ? L'inéluctable disparition d'une forme de culture par l'avènement de l'ère du numérique et du brouillage résultant d'une probable overdose d'information ?
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Black Bottoms
Romuald&Pj
Du lundi 19 au Mercredi 21 mai
Survivances
Une exposition de peintures de
Christine Vadrot
Rêver et peindre le rouge par Michèle Pichon (Docteur en philosophie)
Christine Vadrot choisit la couleur rouge d’abord pour ses propriétés physiques. Alliée au travail de la matière picturale, la couleur participe à la construction de l’espace. De l’action du rouge naissent des formes, mains, bouches par exemple. Formes évanescentes, apparitions sur fond bleu sombre, irradié par le rouge omniprésent, formes nées de la nuit, en instance de disparaître. Un échange subtil entre matière et lumière crée une profondeur et une dynamique où le rouge vient occuper ce que l’artiste nomme “l’espace du devant ”. Associé à des formes abstraites, le rouge structure et dynamise l’espace : ruissellement des lignes, dispersion des taches, tracés d’explosion, mettent l’espace en mouvement et l’ouvrent sur l’infini.
On ne peut rêver la couleur en soi. On rêve le bleu du ciel, le rouge de la flamme ou le blanc de la neige. La rêverie de la couleur engage toujours l’imagination matérielle, celle qui rêve les matières élémentaires, eau, air, terre ou feu, qui pénètre dans leur intimité pour en retrouver la dynamique.
L’artiste associe le rouge à l’air. Cela peut sembler paradoxal dans la mesure où, traditionnellement, le rouge symbolise le feu. En réalité, la dynamique du feu est bien présente dans cette oeuvre : mouvements ascensionnels, étincelles issues d’un noyau de feu central, taches constellantes. L’air embrasé, alliance d’air et de feu, semble solliciter l’imagination de l’artiste.
Dans les images aériennes, comme dans toutes les images matérielles, s’expriment certaines valeurs psychiques. « L’air est la substance même de notre liberté », écrit Bachelard. Lorsque la dynamique du feu s’allie à celle de l’air, alors se manifeste une volonté ardente de liberté.
Diverses tentatives pour s’affranchir des limites du support, coulées en bordure de toile, lignes fuyant au-delà du tableau, témoignent du désir de s’approprier un espace infini, caractéristique de l’imagination aérienne. Peut-être, le rouge rappelle-t-il à l’artiste les limites de cette liberté. N’est-il pas, dans notre culture, la couleur de l’interdit ?
Christine Vadrot choisit la couleur rouge d’abord pour ses propriétés physiques. Alliée au travail de la matière picturale, la couleur participe à la construction de l’espace. De l’action du rouge naissent des formes, mains, bouches par exemple. Formes évanescentes, apparitions sur fond bleu sombre, irradié par le rouge omniprésent, formes nées de la nuit, en instance de disparaître. Un échange subtil entre matière et lumière crée une profondeur et une dynamique où le rouge vient occuper ce que l’artiste nomme “l’espace du devant ”. Associé à des formes abstraites, le rouge structure et dynamise l’espace : ruissellement des lignes, dispersion des taches, tracés d’explosion, mettent l’espace en mouvement et l’ouvrent sur l’infini.
On ne peut rêver la couleur en soi. On rêve le bleu du ciel, le rouge de la flamme ou le blanc de la neige. La rêverie de la couleur engage toujours l’imagination matérielle, celle qui rêve les matières élémentaires, eau, air, terre ou feu, qui pénètre dans leur intimité pour en retrouver la dynamique.
L’artiste associe le rouge à l’air. Cela peut sembler paradoxal dans la mesure où, traditionnellement, le rouge symbolise le feu. En réalité, la dynamique du feu est bien présente dans cette oeuvre : mouvements ascensionnels, étincelles issues d’un noyau de feu central, taches constellantes. L’air embrasé, alliance d’air et de feu, semble solliciter l’imagination de l’artiste.
Dans les images aériennes, comme dans toutes les images matérielles, s’expriment certaines valeurs psychiques. « L’air est la substance même de notre liberté », écrit Bachelard. Lorsque la dynamique du feu s’allie à celle de l’air, alors se manifeste une volonté ardente de liberté.
Diverses tentatives pour s’affranchir des limites du support, coulées en bordure de toile, lignes fuyant au-delà du tableau, témoignent du désir de s’approprier un espace infini, caractéristique de l’imagination aérienne. Peut-être, le rouge rappelle-t-il à l’artiste les limites de cette liberté. N’est-il pas, dans notre culture, la couleur de l’interdit ?
Fragments d'un zombie en robe (de chambre)
Vendredi 11 avril à 20H30
Compagnie de l'entre-deux et Rodrigue Aquilina présentent :
Lecture de Thierry Chollet-Berger sur une proposition/Installation de Rodrigue Aquilina
INFOS :
http://cielentredeux.wix.com/cie-l-entre-deux
http://www.thierrycholletberger.fr/
Et à La Galerie des Pentes Bien entendu !
http://cielentredeux.wix.com/cie-l-entre-deux
http://www.thierrycholletberger.fr/
Et à La Galerie des Pentes Bien entendu !
Expolaroid : Romuald&PJ, Pola 1994-2014
La Galerie des Pentes participe au mois international du Polaroid et du Film instantané. Du 3 avril au 15 mai, vous pouvez découvrir dans notre espace art pour tous, notre art-shop, 20 ans de Pola de l'artiste Romuald&PJ.
Papy Warhol faisait du pola, alors à mon dix-huitième anniversaire, j'ai voulu un Polaroid Image System. Je voulais faire de la belle photo. A travers le pola, j'ai construit la genèse de ma démarche artistique. Car, au delà de ses qualités plastiques, de format et de matière, le pola fut et demeure la source d'un plaisir ou d'une frustration instantanés, selon que l'image soit réussie ou pas. Le pola pose aussi cette question essentielle au photographisme artistique : qu'est-ce qu'une image réussie ? C'est la raison pour laquelle je suis passé à l'appareil le plus basique : le 600. Ma pratique du pola m'a apprise que l'esthétique consensuelle était l'ennemi de l'art.
Papy Warhol faisait du pola, alors à mon dix-huitième anniversaire, j'ai voulu un Polaroid Image System. Je voulais faire de la belle photo. A travers le pola, j'ai construit la genèse de ma démarche artistique. Car, au delà de ses qualités plastiques, de format et de matière, le pola fut et demeure la source d'un plaisir ou d'une frustration instantanés, selon que l'image soit réussie ou pas. Le pola pose aussi cette question essentielle au photographisme artistique : qu'est-ce qu'une image réussie ? C'est la raison pour laquelle je suis passé à l'appareil le plus basique : le 600. Ma pratique du pola m'a apprise que l'esthétique consensuelle était l'ennemi de l'art.
Expolaroid Lyon from Motion in Trans on Vimeo.
Cornelia Eichhorn présente : Les Habit(ude)s Codé(e)s.
Exposition du 13 Mars au 12 avril 2014
Vernissage en présence de l'artiste le jeudi 13 Mars a partir de 18h30
Communiqué de presse
Retrouvez Les Habit(ude)s Codé(e)s et d'autres surprises sur la chaine ARTE créative de La Galerie des Pentes
Aborder la question de ce qu'est l'être humain renvoie à la philanthropie ou à la misanthropie, aux humanistes ou à Schopenhauer. La réponse consistant à savoir si l'humain est bon par nature. Cornelia Eichhorn, à travers ses propositions plastiques prend la question sous un autre angle. Elle nous questionne sur la violence d'être un humain, sur la violence de l'être humain.
Tout d'abord, le titre de son exposition « Les habit(udes) codé(e)s » nous parle de la violence sociale. Dans la littérature et le cinéma d'anticipation, les hommes portent tous l'uniforme, signe d'une société totalitaire (Bienvenue à Gattaca, L'âge de cristal...) Sommes-nous si loin de cette uniformisation ? C'est une des questions que pose le film « Ved'ma ». Le vêtement demeure notre outil d'être ensemble, définit notre identité vis-à-vis d'autrui. Cornelia met l'accent sur cette étrangeté, cette absurdité des codes sociaux qui sont pourtant le signe de notre civilisation. La femme est davantage soumise à l'importance du paraître, elle est sommée de répondre à des codes sociaux : l'escarpin est bel et bien un instrument de torture ! L'artiste nous donne à voir l'habit comme il est : une matière sociale, une prothèse aliénante.
Mais Cornelia va plus loin. A travers ses images et ses dessins, elle nous place face à une violence pire encore, non pas celle que produit l'homme, mais celle dont nous sommes tous les victimes : notre carne. L'artiste emploie toute sa technique à nous dire que nous ne sommes que viande, viande déchirée, viande tranchée, viande béante, viande saignante. La première violence de la condition d'être humain est bien celle-ci : nous ne sommes que matière périssable destinée à la terre.
Cependant, et c'est ce qui fait la force du travail de cette artiste protéiforme, la question de l'esthétique ne lui est pas étrangère. Cornelia nous donne à voir l'immonde monde que nous habitons à travers des œuvres d'une saisissante beauté. Il en découle un sentiment que l'on rencontre malheureusement peu souvent en art : le trouble.
Texte de Romuald Combe
Vernissage en présence de l'artiste le jeudi 13 Mars a partir de 18h30
Communiqué de presse
Retrouvez Les Habit(ude)s Codé(e)s et d'autres surprises sur la chaine ARTE créative de La Galerie des Pentes
Aborder la question de ce qu'est l'être humain renvoie à la philanthropie ou à la misanthropie, aux humanistes ou à Schopenhauer. La réponse consistant à savoir si l'humain est bon par nature. Cornelia Eichhorn, à travers ses propositions plastiques prend la question sous un autre angle. Elle nous questionne sur la violence d'être un humain, sur la violence de l'être humain.
Tout d'abord, le titre de son exposition « Les habit(udes) codé(e)s » nous parle de la violence sociale. Dans la littérature et le cinéma d'anticipation, les hommes portent tous l'uniforme, signe d'une société totalitaire (Bienvenue à Gattaca, L'âge de cristal...) Sommes-nous si loin de cette uniformisation ? C'est une des questions que pose le film « Ved'ma ». Le vêtement demeure notre outil d'être ensemble, définit notre identité vis-à-vis d'autrui. Cornelia met l'accent sur cette étrangeté, cette absurdité des codes sociaux qui sont pourtant le signe de notre civilisation. La femme est davantage soumise à l'importance du paraître, elle est sommée de répondre à des codes sociaux : l'escarpin est bel et bien un instrument de torture ! L'artiste nous donne à voir l'habit comme il est : une matière sociale, une prothèse aliénante.
Mais Cornelia va plus loin. A travers ses images et ses dessins, elle nous place face à une violence pire encore, non pas celle que produit l'homme, mais celle dont nous sommes tous les victimes : notre carne. L'artiste emploie toute sa technique à nous dire que nous ne sommes que viande, viande déchirée, viande tranchée, viande béante, viande saignante. La première violence de la condition d'être humain est bien celle-ci : nous ne sommes que matière périssable destinée à la terre.
Cependant, et c'est ce qui fait la force du travail de cette artiste protéiforme, la question de l'esthétique ne lui est pas étrangère. Cornelia nous donne à voir l'immonde monde que nous habitons à travers des œuvres d'une saisissante beauté. Il en découle un sentiment que l'on rencontre malheureusement peu souvent en art : le trouble.
Texte de Romuald Combe
Espace ART POUR TOUS, l'art contemporain autrement...

La Galerie des Pentes offre deux espaces d'expositions distincts et complémentaires.
L'espace ART POUR TOUS est notre art-shop. Une boutique d'art contemporain où une vingtaine d'artistes proposent des œuvres originales ou en petits multiples à des prix très abordables. Nous souhaitons ouvrir les portes de la collection à tous les amateurs !
Avec un mode d'accrochage proche d'un cabinet de curiosité, vous serez conquis par cet espace unique en son genre. Sculptures, dessins, gravures ou livres d'artistes, il ne manque rien ! Ici, nous ne sommes pas à la sortie d'un musée, il n'y a pas de produits manufacturés en Chine ! De l'art et rien que de l'art !
L'ART POUR TOUS, c'est un lieu pour tous les artistes, pour tous les amateurs et pour toutes les bourses !
Tentez l'expérience de La Galerie des Pentes ! Osez l'art contemporain autrement...
Possibilité d'envoi des œuvres par transporteur. contactez nous à lyon.galerie@aol.fr
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Avec un mode d'accrochage proche d'un cabinet de curiosité, vous serez conquis par cet espace unique en son genre. Sculptures, dessins, gravures ou livres d'artistes, il ne manque rien ! Ici, nous ne sommes pas à la sortie d'un musée, il n'y a pas de produits manufacturés en Chine ! De l'art et rien que de l'art !
L'ART POUR TOUS, c'est un lieu pour tous les artistes, pour tous les amateurs et pour toutes les bourses !
Tentez l'expérience de La Galerie des Pentes ! Osez l'art contemporain autrement...
Possibilité d'envoi des œuvres par transporteur. contactez nous à lyon.galerie@aol.fr
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BIPOLART, Une exposition originale de Rocio Lopez Zarandieta et Miguel-Angel Concepcion pour La Galerie des Pentes jusqu'au 8 mars 2014.
Après avoir participé à la cinquième édition de MADATAC, un des principaux festivals d’art numérique et vidéo d’Europe, célébré au centre d’art Cybèle de Madrid, les artistes Rocío López Zarandieta et Miguel Ángel Concepción présentent une exposition commune pour La Galerie des Pentes à Lyon qui s’appellera BIPOLART. Les deux artistes sont directeurs et curateurs du Festival ATLANTICA-VISUAL-ART qui se tient en parallèle au festival de cinéma CINEFORUM de Islantilla, Huelva, Espagne.
BIPOLART se composera, en plus, de dessins, photographies ou peintures, de diverse œuvres vidéo dont une installation avec du sable marin et une projection où les artistes s’introduisent dans l’eau, s’immergent et disparaissent.
Le Projet BIPOLART est une réflexion autour des contraires, l’union des matières solides et liquides, de la terre et de l’eau. La création bipolaire depuis un même espace, depuis le même atelier, par deux êtres opposés, confrontés et condamnés à s’entendre et à être complémentaires. C’est l’Union entre Apollon et Dyonisos, entre la peinture et la photographie, entre le plastique et le conceptuel. BIPOLART est aussi une réflexion sur les morales relatives à la popularisation des drogues et des abus qu’elle implique, l’influence de celles-ci sur les comportements individuels, son développement dans les espaces domestiques, dans le sexe ou la folie collective.
Selon les mots de ses auteurs « Le projet BIPOLART est une plage, une berge ou convergent et se rencontrent le sable et l’eau, ils n’arrivent jamais à se fusionner, le sable restera toujours à sa place, l’eau repartira toujours à la sienne. »
BIPOLART se composera, en plus, de dessins, photographies ou peintures, de diverse œuvres vidéo dont une installation avec du sable marin et une projection où les artistes s’introduisent dans l’eau, s’immergent et disparaissent.
Le Projet BIPOLART est une réflexion autour des contraires, l’union des matières solides et liquides, de la terre et de l’eau. La création bipolaire depuis un même espace, depuis le même atelier, par deux êtres opposés, confrontés et condamnés à s’entendre et à être complémentaires. C’est l’Union entre Apollon et Dyonisos, entre la peinture et la photographie, entre le plastique et le conceptuel. BIPOLART est aussi une réflexion sur les morales relatives à la popularisation des drogues et des abus qu’elle implique, l’influence de celles-ci sur les comportements individuels, son développement dans les espaces domestiques, dans le sexe ou la folie collective.
Selon les mots de ses auteurs « Le projet BIPOLART est une plage, une berge ou convergent et se rencontrent le sable et l’eau, ils n’arrivent jamais à se fusionner, le sable restera toujours à sa place, l’eau repartira toujours à la sienne. »
Utero - Abel Azcona- Performance du 11 janvier 2014
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LANDscapeING - Exposition de Raom&Loba
Du 6 décembre 2013 au 25 janvier 2014
Du 6 décembre 2013 au 25 janvier 2014
Insulaire -Performance plastique, poétique et musicale : Chloé Bonnard (Dessin en rétroprojection), Elise Bonnard (voix) et Nico Poisson (Musique) - Jeudi 12 décembre à la Galerie des Pentes
Red District - Performance de Djan Silveberg : une exposition d'artistes pendant la Fête des Lumières
Djan Silveberg accompagné par les artistes Laure Abouaf, Chloé Bonnard, Gilbert Coqalane, Romuald&PJ
et Fred Mars Landois
7 décembre 2013 à la Galerie des Pentes
Vidéo de Christine Goyard cliquez ici
Djan Silveberg accompagné par les artistes Laure Abouaf, Chloé Bonnard, Gilbert Coqalane, Romuald&PJ
et Fred Mars Landois
7 décembre 2013 à la Galerie des Pentes
Vidéo de Christine Goyard cliquez ici
En Reliance de Marie-Véronique Isnard
Installation à La Galerie des Pentes du 13/11/2013 au 4/01/2014
« En Reliance »
De la bronche à la branche circulent dans nos veines le même air, la même sève vitale. Et si de la branche aux racines « le tout est plus que la somme des parties», traversez cette membrane et pénétrez ce cylindre de lumière.
Ce voile entre l’extérieur et l’intérieur, comme une peau de l’âme, laisse s’échapper l’image de vos racines.
Issues de la même matrice ces branches descendant du ciel et leur projection se répandant au sol, dans ce mouvement de circulation de la lumière qui monte et de la matière qui s’incarne... Entre le ciel et la terre, s’interroge la reliance...
Installation à La Galerie des Pentes du 13.11.2013 au 4.01.2014
De la bronche à la branche circulent dans nos veines le même air, la même sève vitale. Et si de la branche aux racines « le tout est plus que la somme des parties», traversez cette membrane et pénétrez ce cylindre de lumière.
Ce voile entre l’extérieur et l’intérieur, comme une peau de l’âme, laisse s’échapper l’image de vos racines.
Issues de la même matrice ces branches descendant du ciel et leur projection se répandant au sol, dans ce mouvement de circulation de la lumière qui monte et de la matière qui s’incarne... Entre le ciel et la terre, s’interroge la reliance...
Installation à La Galerie des Pentes du 13.11.2013 au 4.01.2014
Le Vulcanologue crashe la lave-eau-pot de chambre. Une proposition de Philippe Guérin
Exposition du 11/09 au 30/11/2013
Exposition du 11/09 au 30/11/2013
Ceci n'est pas un texte curatif
A travers cette exposition, Philippe Guérin vous entraîne dans un univers inventé par un chercheur en arts plastiques. Il cherche, cherche, a souvent l'impression de ne pas trouver, quand soudain surgit ce qu'il cherche : la puissance visuelle.
Philippe doute, sans arrêt, doute car il expérimente, il met à mal ce qu'il maitrise, car la maitrise ne l'intéresse pas. Il cherche le moment, l'accident, qui fera qu'il pourra regarder son oeuvre en face. Mais il reste perpétuellement insatisfait, ce qu'il ne sait pas, ce qu'il ne pourra jamais entendre, c'est que toute la force plastique de son travail vient de là.
Il met à mal tous les supports, toutes les techniques. L'huile sur toile montée sur châssis ne l'intéresse pas, l'ennuie même. Philippe ne produit pas une œuvre, il se bat contre elle. Il maltraite la matière jusqu'à ce qu'elle lui donne ce qu'il veut.
Face au travail de l'artiste, le discours est vain (d'où le titre de ce texte). D'ailleurs, Philippe soupire souvent en parlant de son art, il sait que c'est de trop. Il nous balance ses tripes, il veut bousculer. On est loin d'un art conceptuel où tout doit s'expliquer. Philippe n'a jamais oublié que c'est le spectateur qui fait le tableau.
Philippe sait que la peinture contemporaine se bute à toute l'histoire de l'art, que tout a été fait, il se décourage, souffle, ses bras sont près de tomber au sol, mais dans un sursaut créatif et vital, il l'affronte.
Ses thèmes de prédilection, eux, sont stables. Son langage, avec ses signes, sont à présent définis : les paysages de nature, les éléments, les objets de plomberie, les objets usuels en général ; et l'humanité. L'artiste donne à voir l'humain tel qu'il se perçoit lui-même : torturé et doux, désenchanté et serein, perdu et heureux, fataliste et rêveur, fragile et intemporel.
Romuald Combe
A travers cette exposition, Philippe Guérin vous entraîne dans un univers inventé par un chercheur en arts plastiques. Il cherche, cherche, a souvent l'impression de ne pas trouver, quand soudain surgit ce qu'il cherche : la puissance visuelle.
Philippe doute, sans arrêt, doute car il expérimente, il met à mal ce qu'il maitrise, car la maitrise ne l'intéresse pas. Il cherche le moment, l'accident, qui fera qu'il pourra regarder son oeuvre en face. Mais il reste perpétuellement insatisfait, ce qu'il ne sait pas, ce qu'il ne pourra jamais entendre, c'est que toute la force plastique de son travail vient de là.
Il met à mal tous les supports, toutes les techniques. L'huile sur toile montée sur châssis ne l'intéresse pas, l'ennuie même. Philippe ne produit pas une œuvre, il se bat contre elle. Il maltraite la matière jusqu'à ce qu'elle lui donne ce qu'il veut.
Face au travail de l'artiste, le discours est vain (d'où le titre de ce texte). D'ailleurs, Philippe soupire souvent en parlant de son art, il sait que c'est de trop. Il nous balance ses tripes, il veut bousculer. On est loin d'un art conceptuel où tout doit s'expliquer. Philippe n'a jamais oublié que c'est le spectateur qui fait le tableau.
Philippe sait que la peinture contemporaine se bute à toute l'histoire de l'art, que tout a été fait, il se décourage, souffle, ses bras sont près de tomber au sol, mais dans un sursaut créatif et vital, il l'affronte.
Ses thèmes de prédilection, eux, sont stables. Son langage, avec ses signes, sont à présent définis : les paysages de nature, les éléments, les objets de plomberie, les objets usuels en général ; et l'humanité. L'artiste donne à voir l'humain tel qu'il se perçoit lui-même : torturé et doux, désenchanté et serein, perdu et heureux, fataliste et rêveur, fragile et intemporel.
Romuald Combe
Hop ! par Romuald&Pj
Exposition du 10/07 au 5/10/2013
Exposition du 10/07 au 5/10/2013
La photographie s'est longtemps targuée d'avoir volé la représentation du réel à la peinture. Mais qu'en est-il vraiment ? Nous sommes à présent dans un monde saturé d'images, fixes et mouvantes, qui sont les multiples facettes d'un kaléidoscope enivrant et trompeur. Cette évidence qu'une photographie donne à voir ce qui est, s'est ancrée profondément et n'est plus remise en question. On n'oublie que l'homme derrière l'objectif, artiste ou pas, est un auteur et que le point de vue biaise irrémédiablement toute tentative de témoignage du réel. La photographie n'est pas dans le monde, comme l'est la sculpture ou la peinture, elle est un monde à part entière, comme parallèle, un monde de simulacres et de faux-semblants.
Lorsque nous décidons une photographie, il nous est est impossible de ne pas tenir compte de cette faiblesse du médium. Tout d'abord, nous avons le souci de l'image simple, d'où des choix plastiques radicaux (fonds noirs, peu de couleurs). Nous avons la prétention, dans ces choix, de rendre une certaine essence à l'image, à ne pas parasiter la vision du spectateur.
Suivant le principe deuleuzien, nous abordons chaque médium hermétiquement par rapport aux autres. Une idée en photographie ne sera jamais la même chose qu’une idée en peinture. D’où l’aspect hétéroclite du travail. Nous refusons de faire la même œuvre toute notre vie ! Cependant, des recoupements signifiants s’établissent entre nos peintures, nos photographies, nos sculptures, au delà des intentions de départ, et ce dépassement nous intéresse particulièrement.
« La vraie question est celle-ci : peut-on aujourd'hui envisager une notion de citoyenneté qui aille au-delà du repli identitaire ? Et, par extension, des pratiques artistiques qui ne s'originent pas dans l'identité de leur auteur, mais qui partiraient, à l'inverse, de l'état globalisé de la culture pour se diriger vers une identité ? » écrit Nicolas Bourriaud dans Art Press. Nous avons trouvé le point d’ancrage de notre démarche dans cette phrase, extraite d’une analyse sur la globalisation de l’art contemporain.
L'artiste performer espagnol Abel Azcona à La Galerie des Pentes : Nine Container
ABEL AZCONA
NINE CONTAINER
CONFINEMENT IN SEARCH OF IDENTITY
Comissariat d'exposition : Carlos Arturo del Toro
Photographie et documentation : Romuald&PJ
Du 10 septembre 2013 à 19h00
Au 19 septembre 2013 à 19h00
« Gestation of a waste. Gestation d’un déchet». Par Carlos Arturo Del Toro, co-curateur du projet NINE CONTAINER, Confinement in search of identity de l’artiste Abel Azcona.
« N’être jamais né peut être la plus grande des faveurs » Sophocle
Le chemin de la compréhension de l’art est un dédale, ses multiples définitions dévoilent un fond au caractère personnel et subjectif. Ce nouvel enfermement de l’artiste Abel Azcona nous montre viscéralement le paradoxe qu’implique définir quelque chose comme art, et croire ensuite que nous pouvons appliquer cette définition à différentes œuvres particulières.
Le projet NINE CONTAINER est un projet personnel et subjectif, dont la prétention est de recréer le processus de gestation de l’artiste. Neuf jours dans un container à poubelle comme métaphore pour imager les neuf mois de gestation de l’auteur dans un ventre malsain. Neuf mois dans un placenta plein de désespérance, où les principaux nutriments étaient de la désolation ainsi que les nombreuses substances psychoactives qui envahissaient le sang de Victoria, la mère biologique d’Abel Azcona.
Ce projet, dont l’objectif final est la recréation d’un moment de la vie de l’auteur, nous pose cependant deux questions propres qui nous entrainent à réfléchir en tant que spectateur. La première, sans aucun doute, devrait être une réflexion sur l’art, car je crois que pour vous comme pour moi même, voir un container à poubelles en plein milieu de La Galerie des Pentes nous interroge sur le fait de savoir si ce que nous voyons là est ou non de l’art. Ce texte, pas plus que la performance elle-même ne sont là pour répondre à cette question, c’est à vous d’élaborer vos propres conclusions, guidées par vos émotions, pensées et sensations que dévoileront l’œuvre d’Abel Azcona en chacun d’entre vous.
La deuxième question est autour des déchets, cela dans un sens tant métaphorique que littéral. Les déchets : ce que nous ne voulons point, cela qui, d’une forme ou d’une autre, refusons de notre existence. C’est intrinsèquement l’axe fondamental de l’œuvre NINE CONTENAIR. Cela l’est depuis la perspective de l’auteur, qui se recréait lui même comme un déchet qui n’aurait jamais dût exister, mais aussi dans une perspective critique. Quelle relation avons-nous avec notre monde et la quantité de déchets que nous y produisons de manière démesurée. Cette production de poubelles physiques et émotionnelles nous dégrade en tant qu’individus et constitue des formes systématiques de déshumanisation qui, sans crier gare, nous transformeront en un nouvel humain, le point d’orgue maximal et parfait des systèmes économiques et politiques actuels : L’homme poubelle !
Carlos Arturo Del Toro
Traduction de l’espagnol : Pierre-Jean Blanchon
Installation artistique vivante avec sculpture et performance appuyé par les médiums tels : L’art vidéo et la photographie sur une durée de neuf jours. Développé et réalisé par l’artiste Abel Azcona du 10 septembre au 19 septembre 2013, dans un container à poubelle à La Galerie des Pentes en résonance avec la Biennale de Lyon 2013. Le Commissariat d’exposition est réalisé par le colombien Carlos Arturo del Toro et le chypriote Andreas Pashias. Photographie et Documentarisé par Romuald&PJ, avec la collaboration spéciale de Neebex Gallery de Bogota (Colombie) et International platform of performance art.
L'artiste Abel Azcona, après son projet d'enfermement de 60 jours "A la recherche d'une identité" remet sur la table un projet sur la recherche et l'analyse interne au moyen de la privation de liberté. Ainsi, Abel Azcona s'enferme à nouveau, cette fois ci dans un container à poubelle, à La Galerie des Pentes, au cœur du Lyon de l'art contemporain, à l'occasion de La biennale de Lyon. Neuf jours dans une poubelle, jour et nuit ! Neuf jours pour faire un clin d’œil à son propre processus de gestation. Un retour au fœtus pour une nouvelle reconstruction. Un Abel Azcona en résilience !
Abel Azcona (Pamplona, 1988) est un artiste visuel espagnol spécialement tourné vers l'art de la performance. Il porte cependant une grande attention au résultat plastique de son travail, tant comme vidéaste que photographe.
Son œuvre peut se définir sous deux axes, l'autobiographique et la critique.
Son enfance, marquée par l'abandon, les mauvais traitements et les abus, fait de sa mère biologique le référent clef de son expérience, de sa création artistique. Ce sentiment de délaissement par sa mère, prostituée, comme son passage par différents centres d’hébergement, institutions psychiatriques et familles d'accueil, sont déterminants dans les formes d'expression d'Abel Azcona. Sa vie et ses expériences sont unies à sa création, c'est ce qu'il partage avec le public par divers médiums. Dans ce travail intimiste, Azcona est connu pour aborder la douleur et la résistance physique en se soumettant à divers actes que l'on peut qualifier de tortures (fouet, intoxications, agressions physiques ou psychologiques). Abel Azcona affirme que quand la douleur interne est très forte, la douleur externe vient à disparaître. Il utilise ses propres sentiments pour créer une auto-empathie avec ses sentiments et expériences juvéniles et adolescentes.
En parallèle, l'artiste de Navarre réalise des œuvres de hautes charges critiques en abordant des thématiques telles le féminisme, la sexualité, les inégalités, la politique ou la religion, cherchant à mettre en évidences ces thèmes sociaux.
Abel Azcona : Un artiste polémiste
L'artiste veut que son œuvre transcende les différents cercles sociaux. En 2012, il diffusât via un compte twitter que l'entrepreneur et président du groupe Santander, Emilio Botìn, était décédé. Il envoyât cette information à différentes personnes dont des journalistes célèbres en Espagne, avec l'objectif que celle ci se propageât viralement. Avec cette action, Azcona pointe du doigt les inégalités sociales face à la dette bancaire dont souffrent beaucoup d'espagnols qui terminent dans beaucoup de cas par des expulsions et par là même par des pertes de vies.
Une performance dans la Galerie Santa Fe de Bogota l'amena à poser la question sur la valeur humaine en s'adonnant à la prostitution. Pour 100 pesos Colombiens, il offrait son corps 3 minutes. 39 personnes sont rentrés dans le lit qui était le centre de sa performance, 32 femmes et 7 hommes ont librement usé de l'artiste en parlant pour certains, d'autres choisissant des actes sexuels plus crus.
Suite à de nombreuses censures, l'artistes a commencé un travail critique en 2013 autour d'un manifeste artistique et philosophique intitulé "Teorìa involuntaria de una muerte confrontada" (théorie involontaire d'une mort confrontée), dans lequel il se présente avec d'autre artistes disposés à développer des projets artistiques qui transgressent les dangers de la critiques et se voient par là même confrontés à leurs propres morts.
Le projet de Performance à la Galerie des pentes
Confinement in search of identity est formé de plusieurs installations/performances autour du corps. Celles ci abordent les questions d'identité, du corps et des privations de libertés.
C'est le quatrième volet de Confinement in search of identity que nous voulons réaliser.
Dans la galerie Santa Fé de Bogota, Abel Azcona s'est enfermé 4 jours avec divers artistes à la recherche de son propre Moi dans une exploration interne et corporelle.
Le second, au coté de l'artiste Regina Fiz Santos, Abel s'est enfermé 168 heures dans un appartement à la recherche d'une identité.
A Madrid en ce moment même et jusqu'au 5 septembre 2013, Abel Azcona est reclu pour 60 jours dans l'obscurité la plus totale, sans aucun contact exterieur pour la performance Dark Room. Une réflexion artistique autour du mythe de la caverne de Platon.
Nous faisons appel à vous pour la suite de ce grand projet autour de l'identité, problématiques cruciales de nos sociétés contemporaines. Abel va rester 9 jours, temps symbolique d'une gestation, au fond d'un contenair à poubelle. Cette performance aura lieu quelques jours seulement après sa sortie de Dark Room.
Les performances d'Abel sont très éprouvantes, tant physiquement que moralement. Le financement que nous cherchons serviront à régler les frais de l'artiste ainsi que sa rémunération. La galerie des Pentes n'en retirera aucun bénéfice direct.
La Galerie des Pentes est une très jeune entreprise. Née au mois de mai 2013, elle a pour ambition de donner de la visibilité aux artistes dont les problématiques et thématiques artistiques sont au cœur des réalités sociales contemporaines. Nous ne sommes pas en mesure de produire cet évènement sur fond propre, nous sommes certains que vous serez nombreux à nous aider.
Documentation chronologique des 9 jours de réclusion de la performance Nine Container
Par Romuald&Pj
Par Romuald&Pj
La Galerie des Pentes sera hors les murs lors de la soirée Spéciale Atlantica Visual Art organisée par le collectif Atlantida Welcome.
Nous serons représentés par Cornelia Eichhorn dont les vidéos "Parasite" et "Ved'Ma" seront projetées, ainsi que par les GIF "WAR " et "Velasquez et Caravage clignotent" de Romuald&PJ
Nous serons représentés par Cornelia Eichhorn dont les vidéos "Parasite" et "Ved'Ma" seront projetées, ainsi que par les GIF "WAR " et "Velasquez et Caravage clignotent" de Romuald&PJ
L'exposition d'inauguration
Mai/juin 2103
Mai/juin 2103
Pierre-Jean Blanchon est heureux de vous inviter à l'inauguration de La Galerie des Pentes. Ce nouveau lieu lyonnais a pour ambition d'être un espace d'art résolument contemporain.
L’art contemporain jouit d’une confusion intellectuelle, du fait il est bien souvent difficile de le comprendre. La galerie des Pentes espère bouleverser cette approche élitiste en proposant des œuvres exigeantes sans être hermétiques. C'est pour cela que la galerie propose deux espaces distincts.
Une exposition collective présente les artistes. Cette partie du lieu sera par la suite l'écrin d'expositions individuelles et de performances d'artistes. La galerie se veut un lieu vivant.
Cette première exposition réunit neuf artistes, d'origines, d'âges et de cultures différentes, qui dans leurs travaux traitent de la perception du monde comme matière.
L’enjeu est ici celui des constituants du monde ; il s’agit de savoir si la perception repose dans une substance, que l’on peut appeler esprit, séparée de la substance matérielle ; si l’on soutient une telle hypothèse, on posera alors le monde comme composé de deux types de substances totalement distinctes, ne possédant aucune qualité commune ; on sera alors dualiste. Ce dualisme est éminemment l'essence de l'homme. A travers diverses approches plastiques, ces artistes tentent de traduire cette épineuse problématique.
Dans quelques semaines, le second espace vous proposera des objets d'artistes : estampes, cartes postales, T-shirts, livres d'artistes... La galerie souhaite que tout un chacun puisse acquérir une œuvre pour un prix modique, que la notion d'art pour tous ne soit pas qu'une utopie.
L’art contemporain jouit d’une confusion intellectuelle, du fait il est bien souvent difficile de le comprendre. La galerie des Pentes espère bouleverser cette approche élitiste en proposant des œuvres exigeantes sans être hermétiques. C'est pour cela que la galerie propose deux espaces distincts.
Une exposition collective présente les artistes. Cette partie du lieu sera par la suite l'écrin d'expositions individuelles et de performances d'artistes. La galerie se veut un lieu vivant.
Cette première exposition réunit neuf artistes, d'origines, d'âges et de cultures différentes, qui dans leurs travaux traitent de la perception du monde comme matière.
L’enjeu est ici celui des constituants du monde ; il s’agit de savoir si la perception repose dans une substance, que l’on peut appeler esprit, séparée de la substance matérielle ; si l’on soutient une telle hypothèse, on posera alors le monde comme composé de deux types de substances totalement distinctes, ne possédant aucune qualité commune ; on sera alors dualiste. Ce dualisme est éminemment l'essence de l'homme. A travers diverses approches plastiques, ces artistes tentent de traduire cette épineuse problématique.
Dans quelques semaines, le second espace vous proposera des objets d'artistes : estampes, cartes postales, T-shirts, livres d'artistes... La galerie souhaite que tout un chacun puisse acquérir une œuvre pour un prix modique, que la notion d'art pour tous ne soit pas qu'une utopie.